Des fois, tout ce qu’il faut c’est une épaule pour pleurer ou une paire d’oreilles pour écouter nos plaintes. C’est vrai que partager ses déboires ne les change en rien. Mais je persiste à croire qu’avoir un ami à ses côtés pour traverser les sentiers difficiles de la vie les rend nettement plus court ou, à défaut de cela, plus tolérable.