“Je ne tolère que tes mains”, lui ai-je confié.
Guillaume n’avait semblé entendre cet aveu qui, pourtant, témoignait de toute mon idolâtrie.
Tant de fois je m’étais surprise à vouloir mourir sous les coups de cet amour des premiers instants.
De cette romance sale, lubrique, violente et mécanique.
Cette passion qui faisait bleuir le corps et le coeur.
Et ces marques inavouables que j’affectionnais en secret.